Grâce aux poèmes, interviews et souvenirs du poète Guillevic, le public est emporté dans un hymne à la vie aussi intense que malicieux, où tout retrouve sa raison d’être.
Guidé·es par Marie-Christine Barrault, Gérard Audax et le violoniste Guillaume Dettmar, partez sur les traces du poète breton Eugène Guillevic. Un lauréat du Prix Goncourt de la poésie en 1988 qui a été salué partout pour sa générosité brute exaltant le bonheur de vivre. L’histoire de ce petit homme chétif, attaché à la beauté de la nature pour se sentir aussi fort et robuste qu’un roc, est ravivée avec grâce et légèreté sur scène. Les interprètes s’imprègnent de son regard d’enfant pour s’émerveiller d’une abeille en plein travail, s’amuser d’un clocher et s’attacher au brin d’herbe pour envisager l’espoir.
« Une table, un banc… une jetée qui s’avance vers une mer qu’on imagine, un musicien solitaire qui meuble le calme de son violon… Et un couple. Il est Guillevic, elle est Guillevic : deux facettes d’un poète du quotidien. »
Le Progrès
« Marie-Christine Barrault et Gérard Audax portent la poésie de petits instants de douceur : un café bu de bon matin dans une cuisine, un repas entre amis, une balade en pleine nature. On pense à l’enfance et à l’école des champs « où il suffit de tremper les pieds dans le ruisseau pour que les nuages et le ciel te regardent ». Ici comme ailleurs, les mots servent à ouvrir une porte. »
La République du Centre
Générique
adaptation, mise en scène
Aurélie Audax
avec
Gérard Audax
Marie-Christine Barrault
Guillaume Dettmar
musique
Guillaume Dettmar
production
Cie Clin d’oeil