Le Barbier de Séville

Un grand classique du théâtre français à ne pas manquer, pétillant et savoureux, tout empreint de l’insolence tant prisée par Beaumarchais.

Le Barbier de Séville est la première œuvre dans laquelle apparaît le personnage de Figaro, ici sous les traits d’un barbier rusé et plein d’esprit. C’est tout naturellement qu’Anne Schwaller, directrice du Théâtre des Osses à Fribourg, a choisi cette comédie pour lancer un cycle dédié à cette figure phare de la littérature théâtrale. Elle s’est pour cela entourée d’une distribution romande de haut niveau qu’elle dirige avec une sensibilité et une justesse rares, se permettant de joyeux anachronismes tout en restituant l’esprit de l’époque.

«Pour son premier acte comme directrice des Osses, la metteuse en scène fribourgeoise Anne Schwaller a misé sur une comédie de
Beaumarchais. Portée par des interprètes superbes, elle endiable et fait du bien.»

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Le Temps

Le Barbier de Séville ou La Précaution inutile a été créé le 23 février 1775. Première partie d’une trilogie intitulée Le roman de la famille Almaviva, il est suivi du Mariage de Figaro ou La Folle journée, écrit en 1778 et porté à la scène en 1784 seulement, et de L’Autre Tartuffe ou La Mère coupable, achevé et joué en 1792.

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