La Candoco Dance Company, l’une des principales formations de danse contemporaine en Europe, explore une danse s’affranchissant des normes et des limites.
Sur la bande originale de l’émouvant documentaire Il bacio di Tosca du grand cinéaste Daniel Schmid, Thomas Hauert, lauréat du Prix suisse de la danse 2005, laisse ses interprètes improviser. Trisha Brown, figure de proue de la danse contemporaine, poursuit sa recherche sur la fluidité des mouvements. De ces deux inspirations et de la participation de danseurs en situation de handicap naît un dialogue passionnant et toujours léger sur la vulnérabilité, la vieillesse et la vanité.
« Le public réagit à la bonne humeur de ce spectacle par des applaudissements nourris et une ovation debout. »
Tanznet.de
« La composition est magistrale. Un travail de premier ordre dont on s’émerveille. »
The Guardian
Générique
Notturino
chorégraphie
Thomas Hauert
assistant chorégraphie
Liz Kinoshita
son
D’après Il bacio di Tosca (1984)
Nick Wales
éclairage
Chahine Yavroyan
costumes
Natasa Stamatari
coproduction
Live at LICA
soutien
Platform
Islington
Greenwich Dance
remerciements
Denis Laurent de ZOO
Kevin O’Hare du Royal Opera House
Suzanne Lee
Naomi Blanche
CJ Dyson de Platform
Set and Reset/Reset
chorégraphie
Trisha Brown
musique
Laurie Anderson (avec l’aimable autorisation de Canal Street Communications/Laurie Anderson Studio)
costumes
Celeste Dandeker-Arnold OBE
scénographie
David Lock
éclairage
Chahine Yavroyan
coproduction
Dance Umbrella 2011
direction artistique
Pedro Machado
Stine Nilsen