L’écriture fine et ciselée de ce maître de l’absurde est un antidote parfait à la sinistrose et aux tourments du monde.
Digressions, anecdotes et divagations aussi insensées que désopilantes égrènent ce solo malicieux, où il est question de la vie, de la mort et de l’opportunité d’être une carotte pour se préserver des difficultés existentielles. Salué par ses pairs et la critique, Jean-Jacques Vanier nous rappelle que la vie est une maladie mortelle qui s’attrape à la naissance, d’où la nécessité d’en rire sans modération.
« Un modèle d’écriture ! Fine, précise, la langue de Vanier fait la peau au cynisme et met le vulgaire au rebut. Elle assemble des mots qui provoquent l’hilarité mais qui forment aussi parfois quelques moments de pure poésie. »
Le JDD
« Vanier sait toucher sans perdre le fil d’un rire franc, heureux, complice.»
Le Figaro
« Plus drôle ! Plus dingue ! Plus intelligent ! Cherchez pas. Y’a pas.»
Paris Match
Générique
mise en scène
François Rollin
production
François Volard – Acte 2