Toute la force et l’ironie de Ionesco dans ce chef-d’œuvre du théâtre de l’absurde, qui glisse sans prévenir du comique au tragique et de la métaphysique au non-sens.
Considéré comme l’un des meilleurs metteurs en scène de sa génération, Cédric Dorier se penche sur cette pièce de 1962 relatant les derniers jours du roi Bérenger 1er, contraint de faire face simultanément au délitement de son royaume et à sa propre déchéance. Ionesco y interroge la soif de vie et le désir de postérité, tout en dressant la radiographie émotive d’une agonie, métaphore très shakespearienne du grand théâtre de la vie.
Générique
texte
Eugène Ionesco
mise en scène
Cédric Dorier
avec
Nathalie Goussaud-Moser (la Reine Marie, seconde épouse du Roi)
Agathe Hauser (Juliette)
Denis Lavalou (le Roi Bérenger Ier)
Violette Meyer-Bisch (voix-off Bérenger Ier enfant)
Florian Sapey (le Garde)
Anne-Catherine Savoy (la Reine Marguerite, première épouse du Roi)
Raphaël Vachoux (le Médecin)
collaboratrice artistique
Laure Hirsig
scénographie
Adrien Moretti
Cédric Dorier
lumière
Christophe Forey
assistante-stagiaire lumière
Alla Klara Sergeyeva
vidéo
Yves Kuperberg
composition sonore, musique et régie son
David Scrufari
composition chanson
Alexis Gfeller
chorégraphie
Aude Gilliéron
costumes
Irène Schlatter
assistante costumes
Laurence Stenzin-Durieux
réalisation costumes
Laurence Stenzin-Durieux
Guy Savoy
maquillage et coiffures
Katrine Zingg
régie générale et régie lumière
Adrien Gardel
régie plateau
Noé Stehlé
direction administrative
Cristina Martinoni
construction du décor
Ateliers du TKM:
Christophe Reichel
Chingo Bensong
Noé Stehlé
Léo Bachmann
Arno Fossati
Tania d’Ambrogio
peinture
Noëlle Choquard
Lola Sacier
Béatrice Lipp
accessoires
Yvan Schlatter
dessin des tapisseries
Alex Nguyen
impression
Alain Galois, Decora
coproduction
Cie Les Célébrants
TKM Théâtre Kléber-Méleau, Renens
Théâtre de Carouge-La Cuisine
soutiens
Etat de Vaud
Ville de Lausanne
Loterie Romande
Fondation Leenaards
Fondation Sandoz
Pour-cent culturel Migros
remerciements
Parmigiani Fleurier, qui a permis l’utilisation du Mouvement PF702 pour la scénographie