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Une réappropriation du Sacre du printemps en forme d’exutoire collectif ! Une fête ininterrompue, comme un chant populaire, intense et libérateur.

Œuvre charnière qui bouleversa le monde (et l’histoire) de la danse il y a plus d’un siècle, le ballet de Nijinsky, Le Sacre du printemps, sur une partition inoubliable de Stravinsky, jetait une lumière brutale sur une classe populaire en ébullition. Ayant inspiré plusieurs centaines d’autres interprétations, l’œuvre est ici abordée comme une célébration. Mehdi Berdai se détourne du propos original en mettant en valeur chaque individu au sein du groupe. Et lorsque le rituel s’achève et que les masques tombent, subsistent alors des êtres humains repus et unis, malgré (ou grâce à) leurs différences.

« Cette pièce représente pour moi une épreuve, à la fois physique et humaine. Ce Sacre n’est plus celui d’une seule élue sacrifiée au profit d’un dieu de la terre, mais celui d’une génération d’élu·es prête à se sacrifier elle-même, en quête d’identité et d’appartenance. »

Mehdi Berdai
©Manuel-Rouyer
©Manuel-Rouyer
©Manuel-Rouyer

Générique

avec
Jade Albasini
Léna Bagutti
Zoé de Reynier
Lorenzo Grochain
Neil Höhener
Alix Janssens
Maxime Jeannerat
Sophie Meyer

co-chorégraphe
Héloïse Marcacci
lumière
Gilles Perrenoud

production
Le Lokart

coproduction
Théâtre du Passage

coréalisation
ADN — Danse Neuchâtel