Après Roméo et Juliette, la chorégraphe Joëlle Bouvier retrouve le ballet du Grand Théâtre de Genève pour créer la première version dansée du célèbre opéra de Wagner!
«Salue pour moi le monde, mon père et ma mère, et apporte le breuvage, verse-le dans la coupe d’or.» Ce sont les mots d’Iseut à sa suivante, avant de partager avec Tristan le philtre d’amour qui les unira pour l’éternité. Avec Joëlle Bouvier, la passion règne en maître. Elle a construit un formidable espace où résonnent le fracas de l’amour et le désir irrépressible de l’autre. L’opéra et la danse sortent tous deux gagnants de ce pari fou!
« Sans doute l’une des plus belles compagnies européennes, qui se glisse tout aussi bien dans le registre néoclassique que dans le contemporain. »
Paris Capitale
« Un lyrisme saisissant, un exceptionnel sens dramatique, un talent magistral. »
Le Nouvel Observateur
Générique
avec
Sarawanee Tanatanit (Isolde)
Geoffrey Van Dyck (Tristan)
Armando Gonzalez Besa (Le roi Mark)
Sara Shigenari (Le témoin)
Yumi Aizawa
Céline Allain
Louise Bille
Ornella Capece
Virginie Nopper
Mohana Rapin
Angela Rebelo
Lysandra Van Heesewijk
Madeline Wong
Valentino Bertolini
Natan Bouzy
Zachary Clark
Vladimir Ippolitov
Xavier Juyon
David Lagerqvist
Nathanäel Marie
Simone Repele
Nahuel Vega
chorégraphie
Joëlle Bouvier
dramaturgie
Daniel Dollé
scénographie
Emilie Roy
costumes
Sophie Hampe
lumières
Renaud Lagier
musique
Richard Wagner
enregistrement
Deutsche Grammophon, 1982
Staatskapelle Dresden
direction
Carlos Kleiber
avec
Margaret Price (Isolde)
René Kollo (Tristan)
production
Ballet du Grand Théâtre de Genève
directeur général
Tobias Richter
directeur du ballet
Philippe Cohen
adjoint du directeur du ballet & régie de scène
Vitorio Casarin
coordinatrice administrative
Emilie Schaffter
maîtres de ballet
Grant Aris
Grégory Deltenre
pianiste
Serafima Demianova
directeur technique
Philippe Duvauchelle
régisseurs lumières
Alexandre Bryand
Arnaud Viala
régisseur plateau
Mansour Walter
son
Jean-Marc Pinget
habilleuse
France Durel
partenaire
Vacheron Constantin